Facile les faux-cils magnétiques !

Poser des faux-cils n’est pas si simple. Pour toutes celles qui sont pressées, maladroites, qui ne souhaitent pas investir dans des extensions ou encore dans le rehaussement des cils, une solution existe depuis peu : les faux-cils magnétiques. Eclairage.

Les faux-cils magnétiques, comment ça marche ?

Le kit propose quatre franges de cils, toutes équipées d’une base magnétique. Pour chaque œil, il suffit de placer une première frange sur les cils puis une autre sous les cils. Les bases de ses cils étant magnétiques, les faux-cils vont alors se clipser naturellement aux cils naturels, sans avoir besoin de colle ni d’une grande dextérité.

« Pas de désordre, pas de colle, juste du glam ! »

A l’origine de cette nouveauté, la marque américaine One Two, spécialisée dans les faux-cils, qui vient de commercialiser ses faux-cils du futur sur leur site, avec un slogan plutôt accrocheur : « No Mess. No Glue. All Glam ! » soit « Pas de désordre. Pas de colle. Juste du glam !».

Derrière cette marque américaine se cache une jeune femme : Katy Stoka. En plus d’en être la fondatrice de la marque, celle-ci est également l’inventrice des faux-cils révolutionnaires. En effet, cette chef d’entreprise souhaitait simplifier leur pose tout en gardant un résultat optimal : cils fournis, longs et courbés, comme elle le confie sur le site officiel de la marque. Elle ajoute : « Depuis des années, j’étais à la recherche d’un moyen simple pour obtenir de longs cils. Je ne trouvais pas ! Leur pose était toujours difficile et longue… Et puis l’idée m’est venue d’un coup, sous la douche. »

Fière de son invention, Katy Stoka n’hésite pas à partager sa joie sur son compte Instagram : « Honorée d’intéresser les médias. Merci !», avoue-t-elle. 

59 dollars soit 53 euros les faux-cils du futur

Seule ombre au tableau ? Les faux-cils magnétiques représentent une petite somme : 59 dollars soit 53 euros. De plus, ils sont pour l’instant uniquement vendus sur le site de la marque américaine, ce qui engendre des frais de port afin de les recevoir en France. Mais, patience ! Ceux-ci ne devraient pas tarder à débarquer dans l’Hexagone.